Comment “En Marche” contrôle les plateformes YouTube et Facebook

Mcfly et carlito

Mc Fly et Carlito : Opération de propagande pour la campagne de Macron

Si d’un côté de bonnes personnes comme Ema et Chloé sont chassées injustement des plateformes YT et FB, de l’autre côté le parti politique “en Marche” exploite celles-ci avec un budget de 24 millions d’Euro pour préparer la réélection de Macron.

Ce sont des pratiques déloyales car il n’y a pas de mesures du temps de parole, c’est du financement public au détriment de postes qui ont besoin de plus de moyens comme les hôpitaux. Les partis de l’opposition sont non seulement privés de meetings avec le COVID et de passages dans les médias, ils sont spécialement censurés par les plateformes appartenant à Google et Facebook qui soutiennent ouvertement et exclusivement la politique de Macron, un soutien exclusif qui est anormal.

Le défi de Macron lancé aux YouTubeurs McFly et Carlito pour atteindre 10 millions de vue a été planifié : l’enquête de la chaîne Blast a démontré que ces YouTubers sont des sympathisants LREM, que les appels aux dons vont dans des associations contrôlées par le parti “en Marche” et ils ont été aidés par des algorithmes pour référencer leurs vidéos : des robots et des faux comptes avec l’utilisation de mots clés pour imposer leur vidéo partout. Ils ont bénéficié de l’aide technologique des employés de chez Google.

Nous recommandons de vous abonner à la chaîne Blast qui collabore avec le Vent se Lève et dans cette chaîne vous retrouverez notamment le journaliste David Dufresne avec qui nous avions échangés des informations en 2018-2019 lors de la période des Gilets Jaunes et des violences policières.

https://www.youtube.com/watch?v=d4mwwFsfYvI


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Le Sénat valide la loi sécurité globale sans aucun débat

sécurité globale

Une très mauvaise nouvelle qui enterre encore plus la démocratie en France

Première mauvaise surprise : le débat en commission des lois s’est déroulé derrière des portes closes (sans retransmission vidéo) et a été d’une rapidité surprenant.

Commencé à 8h30, l’examen du texte s’est terminé à 11h30. Il n’aura fallu que trois heures aux sénateurs pour voter leur version de la proposition de loi. Et, en toute opacité. donc, réécrire l’article 24 sans le supprimer, légaliser la surveillance totale des citoyens, légaliser les drones pour la surveillance et la répression automatisée et les caméras embarquées pour des enregistrements systématique de la population et intensifier la vidéosurveillance fixe avec des technologies à reconnaissance faciale.

C’est un coup dur porté à la liberté !

 

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