Le docteur et chimiste Autrichien, Andreas Noack, un des meilleurs spécialistes européen sur le graphène, a été assassiné juste après avoir fait des révélations étonnantes sur l’un des composants des “pseudo-vaccins”, l’hydroxyde de graphène (et non pas l’oxyde de graphène qui est une variante) qui n’a rien à faire dans un vaccin et qui est une substance extrêmement dangereuse et mortifère.
En effet l’hydroxyde de graphène se comporterait comme des lames de rasoir une fois injecté dans votre sang via les “pseudo-vaccins” Covid, et il risque hautement de lacérer les cellules des organes des personnes inoculées en provoquant des mini-lésions dans tout le corps et entraîner des hémorragies internes généralisées graves.
Toute la question est de savoir si le produit du vaccin va rester dans le muscle ou ensuite gagner le sang…On sait que souvent une bonne partie du vaccin gagne le sang, ce qui expliquerait les violents effets.
D’après le chimiste Andreas Noack, les ARN messagers dont on parle tant depuis le début, sont peut-être présents dans les “pseudo-vaccins” mais ils sont surtout un moyen de faire diversion et de détourner l’attention du vrai problème: celui de l’hydroxyde de graphène qui est l’un des éléments les plus dangereux de ces injections expérimentales et qui n’a rien à y faire (avec d’autres éléments toxiques).
Et cela confirme la position du professeur Jean-Bernard Fourtillan qui est de nouveau à la prison de la Santé (ayons une pensée pour lui !) qui dans l’une de ses vidéos expliquait que des ARN messagers artificiels ne pouvaient en aucun cas modifier notre ADN.
Andreas Noak : des lames de rasoir dans les injections pour couper … (odysee.com)
Les travaux du Dr Pablo Campra
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