Suite de l’Analyse détaillée et prochaines actions de la Résistance

Analyse de la votation et manifs alémaniques – STOP Covid-1984

Même si nous aurions aimé faire une pause pour nous reposer après cette longue campagne dont les résultats sont soupçonnés de fraudes, en tout cas de manipulations évidentes, nous devons continuer à communiquer car la résistance à l’oppression ne s’arrêtera jamais.

Manifestations du vendredi réprimées par la police :

Vendredi 3 décembre à 18.00 : Manifestation CONTRE LES NOUVELLES MESURES ABUSIVES à BERNE. Lieu : Place Fédérale. Veille dès 14.00. Manifestation spontanée – des réactions abusives de la police bernoise sont quasi-certaines.

Vendredi 3 décembre à 18.45 : Manifestation ZERTI FICK DICH, citoyens libres unis contre la terreur des mesures, des injections et du certificat à FRAUENFELD (TG). Lieu : Bahnhofplatz. Manifestation spontanée.

Nouvelles manifestations:

Samedi 4 décembre à 12.00 : Des suisses ont prévu de rejoindre la grande manifestation contre la dictature sanitaire à VIENNE.

Samedi 4 décembre à 17.00 : Action BOUGIES, TORCHES & FREE HUGS à ZURICH. Lieu : Rathausbrücke.

But : dénoncer les suicides, les dépressions et les maltraitances d’enfants victimes des mesures sanitaires. Manifestation autorisée.

Mercredi 8 décembre à 08.00 : Rassemblement TOUS DEVANT LE CONSEIL D’ÉTAT GENEVOIS Pour leur rappeler que nous, parents sommes nombreux, unis et puissants à exprimer notre désaccord face à leurs mesures sur NOS ENFANTS à GENÈVE. Lieu : La Treille (Vieille-Ville). Manifestation spontanée.

Retour de la muselière dans l’enseignement obligatoire : « Je signe la lettre NON au masque à l’école » et « Je signe la lettre NON à la vaccination au CO » : Non à la muselière pour les enfants

Dans les prochains jours, dépôt de l’initiative pour l’intégrité physique et contre l’obligation vaccinale.

Suite de l’analyse des votations

La deuxième partie des analyses du vote du 28 novembre se base sur les résultats officiels. Des fraudes sont possibles et des erreurs sont probables mais les preuves sont quasiment impossibles.

Merci à ceux qui peuvent les démontrer. Les Amis de la Constitution ont accepté les résultats du vote (tout en portant plainte contre l’intitulé trompeur sur les bulletins).

Un principe de base est de comparer l’évolution détaillée des votes entre deux dates sur le même sujet, en l’occurrence le rejet de la loi Covid-19.

Les médias ne le font pas, car cela briserait des rouages de leur campagne de presse totalitaire. Mais il faut garder en mémoire ce fait encourageant de l’article précédent : en résumé, entre le 13 juin et le 28 novembre, la cause, en termes de voix, a sensiblement progressé sur l’ensemble de la Suisse romande, tandis que les voix covidistes on reculé, malgré l’augmentation nette du taux de participation. Phénomène particulièrement clair sur Genève et Vaud !

Pour rappel, nous avons gagné 12’378 voix à Genève et 24’052 sur Vaud, tandis que les covidistes en ont perdu respectivement 2’026 et 4’242. Genève est donc passé de 30.7% à 37.1% de NON entre les deux votations et Vaud de 29.8% à 36.4%. Cette tendance est significative, surtout si on la compare à l’involution alémanique.

Oui, le nœud du problème est bien là : c’est bien la Suisse alémanique qui a plombé à la baisse l’évolution nationale par rapport au 13 juin. En gros, le NON progresse de 5% en moyenne des cantons romands et le NON régresse de 3% en moyenne dans les cantons alémaniques. Vu le poids démographique des Alémaniques, cela confirme la baisse nationale du NON de 1.8%. Si les Alémaniques avaient suivi la tendance romande, le résultat global des votations ne serait pas tombé de 39.8% à 38%, mais serait monté à plus de 45%…

Mis à part le boom romand évident du NON, on constate ainsi que les grandes et moyennes villes alémaniques sont stables. Ce sont surtout les petites villes alémaniques qui accusent une baisse sensible (sauf quelques banlieues plus populaires) et les zones de campagne et de montagne alémaniques. Comme lors des votations du 13 juin, on observe un clivage, tendant à s’accentuer, entre zones économiquement fortes, davantage favorables à la dictature covid et zones moins riches, s’opposant davantage à ce totalitarisme.

Evolution des votes
Evolution des votes
Evolution des votes en Suisse Allemanique
Evolution des votes en Suisse Alémanique

Quant à la commune championne de Suisse le 13 juin, UNTERIBERG (un regroupement communal de plusieurs villages dans le canton de Schwyz, comptant 2’403 habitants), avec 87.8% de NON à la loi Covid-19, elle est tombée à 81.3% de NON dimanche dernier. La palme revient dorénavant à ILLGAU (Schwyz, 797 habitants), avec 84.6% de NON.
Le clivage dans l’évolutio

n entre la Romandie et la Suisse alémanique soulève d’importantes interrogations : il faut absolument chercher à comprendre ce qui a pu se passer, pour ensuite utiliser ces connaissances pour nos campagnes et stratégies futures ! Comme en mécanique ou en psychologie, si on ne connaît pas la cause exacte d’un problème, il est difficile de le résoudre… Après la comparaison des données, il s’agit maintenant de s’efforcer de comprendre ensemble les évolutions asymétriques entre les votes romands et alémaniques. Je peux formuler des hypothèses, à vous de les compléter.

Postulat de base : les populations alémaniques, de la campagne et plus encore des montagnes, sont tendanciellement moins perméables aux propagandes covidistes et plus résistantes aux totalitarismes, contrairement aux populations romandes et des villes. Pour modifier ces tendances de bases, il faut donc qu’interviennent des facteurs particuliers, ceux qui on boosté le vote romand et plombé le vote alémanique.
Influences externes : il se pourrait que les Romands les plus éclairés aient été depuis longtemps les observateurs des dérives totalitaires macronistes, avant le covidisme et pendant ses circonvolutions, avec un crescendo depuis l’été 2021. En revanche, la brutalité covidiste extrême en Autriche, qui sert davantage de référence aux Alémaniques (n’ayant pas eu connaissance des gilets jaunes éborgnés durant l’hiver 2018-19), est nettement plus récente. Les milieux éclairés romands auraient ainsi eu plus de temps pour être galvanisés par le mouvement de résistance massif des manifestations françaises, boostant ainsi la campagne pour le NON le 28 novembre.

A l’inverse, la pseudo-flambée épidémique des toutes dernières semaines, davantage présente au centre de l’Europe, en particulier en Autriche, a manifestement ameuté les moutons alémaniques encore abstentionnistes aux votations du 13 juin. Ainsi, pour rappel, même si dans certains cantons alémaniques, comme Zurich, le nombre de NON a progressé le 28 novembre (+ 16’733 voix) celui des OUI a augmenté davantage encore (+ 62’868 voix !), alors qu’en même sur temps à Genève et Vaud, les OUI perdaient au contraire des milliers de voix…

Il est probable que la population en Romandie a davantage souffert des conséquences économiques des mesures covid qu’en Suisse alémanique. Ce ras-le-bol peut aussi expliquer la croissance du NON chez nous.

Si vous voyez d’autres raisons (hors fraudes) pour la croissance du OUI alémanique, merci de me les communiquer.

Influences internes : il semble que la dynamique de la résistance ait été meilleure en Romandie depuis la fin de l’été. Proportionnellement au nombre d’habitants, les manifestations par exemple ont été plus importantes en Romandie que dans la moitié Est de la Suisse, à l’exception de la giga-manif de Winterthur le 18 septembre 2021, avec plus de 20’000 personnes. Les manifestations spéciales à Berne, autorisées ou pas, étaient un phénomène national, avec une importante présence romande.

Que du bon travail ait été fait sur le terrain en Romandie est un fait : les réseaux de résistance se sont agrandis et se sont rodés. Pourtant l’engagement aurait dû être encore plus important vu la gravité de la crise et il y a eu aussi divers couacs. A l’inverse, les Alémaniques sont réputés pour la qualité de leur travail et de leur engagement. Et ce sont des sonneurs de cloches alémaniques qui vont soutenir les manifestations romandes, pas l’inverse. Donc on ne voit pas bien comment on pourrait remettre en cause le travail militant alémanique pour expliquer le flop aux dernières votations.

Une explication serait que les relations entre cantons romands se sont encore affermies entre juin et novembre 2021. Cette coopération accrue, se traduisant en bonne visibilité auprès du public romand, a pu compenser le manque de masse critique que nous avons par rapport à l’importance de la population alémanique.

Quant au traitement médiatique de la pseudo-pandémie, il semble particulièrement hargneux contre les citoyens de bon sens des deux côtés de la Sarine, mais je manque de données comparatives à ce sujet.
Autre hypothèse : pour des raisons liées à l’Histoire du 20e siècle et à l’actualité dans les pays moins développés, en tension permanente, les Suisses d’origine étrangère, particulièrement nombreux à Genève, mais aussi sur Vaud, sont davantage attachés en moyenne aux libertés fondamentales que les Romande de souche, ce qui alimente le NON à la loi-Covid.

La campagne de diffamation de l’extrême gauche romande / antifas à notre encontre n’a pas fonctionné, si l’on se réfère à notre significative progression dans les urnes. Les antifas alémaniques sont plus violents et plus efficients que leurs homologues romands, mais de là à leur attribuer une part de responsabilité dans l’échec des votations, semble un peu excessif.

Autres critères d’analyse :
Bonne nouvelle, les jeunes, bien que relativement absents sur le terrain du combat politique pour les libertés, quasi-abandonné en 2020 aux militants de 40 à 75 ans, en tous cas en Romandie, votent sensiblement plus NON à la loi-Covid que les plus âgés. Les 18-34 ans, cette masse plutôt silencieuse, voterait même NON à 56% selon un sondage des médias. Hypothèse : les jeunes adultes, au départ, étaient trop confiants aux autorités sur un sujet de santé a priori non politique. Les doutes venant, ils ont été trop pris par les priorités de leurs études ou de début de carrière professionnelle. Vérification de l’hypothèse par une enquête sérieuse sur le terrain : pas le temps / manque de moyens et d’enquêteurs bénévoles. Chez les générations précédentes, c’étaient surtout les jeunes qui se bougeaient pour obtenir des changements, allant jusqu’aux activités révolutionnaires. Hypothèse pour expliquer ce basculement : les temps ont changé…

Les pires, selon le même sondage, ce sont les plus de 65 ans, qui, auraient voté à 78% OUI à la loi-Covid. Explications communément admises : égoïsme par indifférence aux difficultés professionnelles vécues par les jeunes à cause du covidisme, égoïsme « vaccinal » (y compris injecter les enfants qui ne risquent rien en imaginant qu’ainsi ils ne mourront pas contaminés), le tout accentué par une propension à se laisser manipuler et plus d’envie de se battre.

A l’inverse, la minorité des aînés, ayant encore 20 ans dans leur tête, dégagée des contraintes professionnelles et en partie familiales (typiquement des femmes avec une excellente hygiène de vie), ne craignant pas le virus, s’engage d’autant plus au niveau militant, allant jusqu’à récolter de nombreuses signatures, à coller des affiches, à venir aux manifs, à corriger des textes, etc.)

 

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