Toute la vérité sur le COVID – les preuves irréfutables – Efficacité des traitements, censures et sabotages

 

Le déroulement de la pandémie de Covid-19 a laissé de nombreuses questions sans réponse, ou avec des réponses insatisfaisantes. Pourquoi des médicaments efficaces ont-ils été interdits pendant qu’un hypothétique vaccin était mis en avant? Pourquoi le souci soudain des pouvoirs publics de « sauver des vies »? Pourquoi les mêmes mesures dans une douzaine de pays? Pourquoi l’imposition d’un confinement alors que la détection et le traitement étaient plus efficaces? Pourquoi un virus dont le taux de mortalité est comparable à celui d’une grippe saisonnière a-t-il fait l’objet d’un tel battage médiatique?

Le Sras-Cov-2 est-il un virus naturel ou a-t-il été créé en laboratoire?

Cet article vise à répondre à ces questions, mais surtout à décrypter les véritables motivations cachées derrière le show planétaire du coronavirus.

Sources : Sott.net / 7duquebec.net 

Virus artificiel

Toutes les mesures prises par les pouvoirs publics en rapport avec la pandémie de Covid-19 se sont articulées autour d’une seule motivation : «sauver des vies». Cette motivation est conforme à leur principal mandat qui est de nous protéger, du moins c’est ce que nous avons été amenés à croire. C’est un mensonge, explications.

 

Cette motivation caractérise la pensée progressiste, année après année, grâce aux droits de l’homme, à la démocratie, à l’humanitarisme et au progrès technologique, dans laquelle la barbarie et la mort appartiennent au passé. Nous sommes maintenant « plus affables et plus dociles », comme le dit Steven Pinker: La cruauté en tant que divertissement, le sacrifice humain pour satisfaire aux superstitions, l’esclavage en tant que mécanisme permettant de réduire la main-d’œuvre, la conquête en tant que profession de foi gouvernementale, le génocide en tant que moyen d’acquérir des biens fonciers, la torture et les mutilations en tant que châtiment ordinaire, la peine de mort pour les délits et les divergences d’opinion, l’assassinat comme mécanisme de succession politique, le viol en tant que butin de guerre, les pogroms en tant que moyen de frustration, l’homicide en tant que principale forme de résolution des conflits — tous ces éléments ont été sans exception des caractéristiques de la vie pendant la plus grande partie de l’histoire de l’humanité. 

Ces exactions ont cours massivement de par le monde et les larmes de crocodiles des médias mainstream ne visent qu’à dissimuler le napalm que les USA déversaient sur l’Indochine il n’y a pas si longtemps et que dire du confinement de 2 millions de palestiniens dans le bagne de Gaza depuis 14 ans et des multiples guerres qu’ils fomentent sur le continent africain

Comment concilier les prétendus progrès avec ces millions de morts évitables ? Pour maintenir l’illusion d’un comportement « plus affable et plus docile », les pouvoirs publics tentent de donner une tournure positive aux guerres, en les qualifiant de «guerre pour la paix», « guerre pour la démocratie », «guerre contre le communisme », «guerre contre le terrorisme».

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Mais ces guerres n’ont rien à voir avec les slogans trompeurs. Elles ont tué des millions d’innocents, elles étaient injustes et ont souvent conduit à des régimes pires que ceux qu’elles ont remplacés. Vous souvenez-vous des armes de destruction massives irakiennes, du 11-Septembre et de Ben Laden conspirant depuis sa grotte afghane isolée, des attaques contre Kadhafi et Assad.

Il en va de même dans le domaine humanitaire. La faim tue neuf millions de personnes chaque année. C’est trente fois plus que le Sras-Cov-2 et ses trois-cent soixante-cinq mille morts présumés — le nombre de décès dus au coronavirus est grossièrement exagéré, et nous traiterons ce point plus loin. L’éradication de la faim coûterait entre sept et deux-cent quarante-neuf milliards de dollars. Entre-temps, les États-Unis ont déjà consacré plus de six mille milliards de dollars à la crise du coronavirus, soit vingt-quatre fois l’estimation la plus élevée du coût de l’éradication de la faim dans le monde entier.

La sphère officielle de l’épidémiologie raconte la même histoire. Depuis des décennies, le paludisme tue environ cinq cent mille personnes chaque année — principalement des enfants — alors que des médicaments efficaces et bon marché sont disponibles. Résoudre le problème du paludisme coûterait environ quatre milliards de dollars par an. En trois mois seulement, le gouvernement américain a dépensé mille cinq cents fois plus pour le coronavirus que le coût de la lutte contre le paludisme.

Que ces pouvoirs publics se moquent des millions de personnes qui meurent chaque année à cause du paludisme, de la faim ou de la grippe est une évidence. Alors pourquoi cette soudaine préoccupation quant au fait de « sauver des vies » ? Quel en est la véritable motivation ?

Les pouvoirs publics et le contrôle

Si la préoccupation majeure des pouvoirs publics de « sauver des vies » est pour le moins douteuse, leur soif de contrôle est évidente. Les années passées ont révélé une augmentation stupéfiante des caméras de surveillance, des radars de vitesse, de l’espionnage de masse des citoyens, des applications de traçage, de l’accès aux téléphones personnels et aux données de messagerie électronique, de l’utilisation accrue des micropuces électroniques sous-cutanées, des identités biométriques, des technologies de reconnaissance faciale, des procédures de « sécurité » interminables dans les aéroports, de l’interdiction de l’argent liquide dans l’intérêt du suivi financier, etc. Toutes ces mesures se sont accompagnées d’une réduction proportionnelle des libertés individuelles.

La surveillance n’est qu’une partie du programme de contrôle. La pression juridique en est une autre, par la prolifération des normes, règlements, traités, lois, décrets, certifications et amendements promulgués aux niveaux local, étatique, fédéral et supranational, le tout conduisant au contrôle de chaque détail de notre vie.

La pression juridique s’accompagne d’une bureaucratie écrasante qui se manifeste par une multiplication d’organismes [payés par l’argent des contribuables – NdT] qui exigent des montagnes de papier pour pouvoir simplement posséder une maison, une voiture, une arme, une entreprise.

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L’augmentation de la surveillance, de la réglementation ou de la bureaucratie sont les symptômes d’un même contrôle croissant exercé par les pouvoirs publics, ce qui entraîne parmi les masses un sentiment d’oppression, qui, tôt ou tard, finit par déclencher une rébellion.

nous avons assisté ces dernières années à une militarisation des forces de police, à coups d’hélicoptères, de chars, de mitrailleuses et de tireurs d’élite. La mission des forces de police est de « servir et protéger », non pas les citoyens, mais l’intérêt des pouvoirs publics. Et ne vous y trompez pas, leurs intérêts sont généralement en conflit avec les intérêts des peuples.

Il n’est toutefois pas nécessaire de remonter des décennies en arrière pour trouver des exemples de violence d’État. En France, le mouvement des Gilets jaunes dure depuis dix-huit mois. Il a débuté par une opposition populaire à une taxe supplémentaire sur le carburant — le carburant est déjà taxé à plus de 60 pour cent en France. Des millions de personnes ont rejoint les manifestations et une majorité de citoyens soutiennent le mouvement. Les pouvoirs publics ont répondu comme à leur habitude, avec des balles en caoutchouc, des gaz lacrymogènes, des grenades assourdissantes, des matraques et des canons à eau. Jusqu’à présent, vingt-quatre mille Gilets jaunes ont été blessés, vingt-quatre ont perdu un œil, cinq ont perdu une main, et probablement une dizaine de mort. Quatre mille Gilets jaunes ont été arrêtés, trois mille ont été poursuivis, et des peines de prison ont été prononcées pour mille d’entre eux.

Ce type de tactique anti-insurrectionnelle de l’État constitue cependant une approche risquée en ce qu’elle est susceptible de créer des héros et des martyrs et de galvaniser le peuple. Quelques véritables soulèvements populaires ont été couronnés de succès, par exemple le contre-coup d’État qui a ramené Hugo Chavez au pouvoir en 2002. La violence physique ne peut pas dépasser un certain seuil. Au lieu de contrôler les corps, il est bien plus efficace de contrôler les esprits qui lui-même induit un contrôle indirect des corps. Ainsi, les citoyens perdent toute idée de rébellion.

Le contrôle mental de toute la population constitue le rêve ultime des pouvoirs publics. Une humanité composée d’esclaves, complaisants, accrochés à chaque discours gouvernemental, qui accepte tout, même l’inacceptable. Un peuple de robots qui s’est débarrassé de tout vestige de ce qui faisait sa véritable personnalité et son indépendance de pensée ou d’action.

Abrutir la population

Les pouvoirs publics ont par diverses techniques tenté et souvent réussi à façonner l’esprit humain. L’un des moyens de contrôler les esprits est l’information — mensonges et récits — qui est distillée dans l’esprit des citoyens : une surexposition des grands médias de la presse écrite et audiovisuelle, une corruption profonde du monde universitaire et de la recherche scientifique et, enfin et surtout, une baisse du niveau d’éducation scolaire combinée à une propagande croissante de plus en plus adaptée aux jeunes.

Les produits chimiques sont un autre moyen de réduire la population. Par exemple, la fluoration de l’eau potable, dont on sait qu’elle fait baisser le QI des enfants. Dans le même ordre d’idées, on assiste à une épidémie d’autisme associée à des campagnes de vaccination — on estime que 10 pour cent des enfants naîtront autistes d’ici 2040. En dépit du fait que sa toxicité cérébrale soit connue depuis des siècles, le plomb entraîne 10 pour cent des handicaps intellectuels et on en trouve encore aujourd’hui dans les plombages dentaires, la plomberie intérieure, la nourriture, l’essence et l’eau.

Et n’oublions pas le boom des drogues « récréatives » qui n’a pu exister qu’avec le consentement des pouvoirs publics. La soi-disant « guerre contre la drogue » n’est qu’une simple campagne de relations publiques visant à maintenir l’illusion d’un « pouvoir public » bienveillant et à exclure les trafiquants qui ne se conforment pas à la doctrine gouvernementale

Ainsi, pour les pouvoirs publics, la question fondamentale demeure la suivante : comment mettre en œuvre un contrôle mental profond et irréversible de la population ? Alors que la propagande ou les produits chimiques peuvent avoir une influence significative sur l’organisme humain, il existe une chose bien plus fondamentale qui, aujourd’hui, est à la portée du bras puissant des gouvernements : notre propre code génétique. Notre esprit et notre corps sont, dans une très large mesure, le produit de notre ADN. En modifiant de façon adéquate le code génétique d’une personne, on peut transformer, « à la source » pour ainsi dire, sa façon de penser. Et l’un des meilleurs moyens de modifier profondément et durablement l’ADN humain, ce sont les virus.

La véritable nature des virus

 

Les virus figurent parmi les plus anciens organismes dont la présence sur Terre est attestée depuis plus de cinq cent cinquante millions d’années. Ils constituent en outre les organismes les plus nombreux de notre planète, et de loin, avec environ 1031 virus dans les seuls océans. C’est mille milliards de plus que le nombre d’étoiles estimé dans l’Univers — 1021.

Les virus sont aussi, et de beaucoup, les organismes les plus divers sur Terre, avec environ cent millions de types de virus différents. À titre de comparaison, il existe environ cinq mille cinq cents espèces de mammifères connues sur notre planète. Parmi ces cent million de types de virus, seulement 200 types (soit 0.0002%) peuvent parfois être pathogènes chez l’homme.

Virus de la rubéole

Les virus ont jusqu’à récemment été catalogués dans un rôle exclusivement pathogène qui répandent la maladie, la souffrance et la mort — attribué notamment par le scientifique Louis Pasteur, à l’origine de la théorie microbienne à la fin du XIXe siècle, qui a limité les germes (y compris les virus) à ce rôle.

Cette théorie fallacieuse a prévalu jusqu’à l’avènement de la recherche génétique, laquelle suggère aujourd’hui que le véritable rôle des virus pourrait bien être presque à l’opposé de ce que Pasteur prétendait :La publication de la séquence du génome humain fut l’un des documents les plus marquants de ce siècle. Environ la moitié, peut-être même les deux tiers de la séquence sont composés de rétrovirus endogènes (ERVs) plus ou moins complets et de rétroéléments (REs) apparentés […]. L’origine des rétroéléments est actuellement considérée comme résultant de vestiges d’anciennes infections germinales rétrovirales qui se sont fixées dans le génome au cours de l’évolution.

~ Frank Ryan, VirolutionEn outre, la plupart des séquences virales sont intégrées dans nos gènes non codants. Les gènes codants sont comme des musiciens qui, au lieu de produire du son, produisent des protéines, et qui constituent les éléments fondamentaux de toutes les formes de vie.

il est maintenant prouvé que les virus endogènes ont des effets bénéfiques sur l’hôte :En 1996, Roy J. Britten, de l’Institut de technologie de Californie, a pu citer dix types dans lesquels des séquences rétrovirales endogènes ont contribué à réguler l’expression d’un gène utile. Sept de ces dix types étaient humains.

~ Frank Ryan, Virolution  Non seulement les virus endogènes ont des effets bénéfiques, mais il semble même que leur présence soit nécessaire à l’existence des formes de vie :[…] lorsque Corrado Spadafora, le chercheur italien qui a réalisé ces travaux pionniers dans la recherche sur le cancer, a appliqué un médicament anti-transcriptase inverse à ce stade très précoce de l’embryogenèse chez la souris.

Pour établir une analogie, les virus qui infusent de nouvelles informations dans notre code génétique s’apparentent à une mise à jour de logiciel. De ce point de vue, les maladies causées par des virus exogènes sont la manifestation physique des luttes du porteur pour s’adapter à cette « mise à jour ». Dans de rares cas, la mort s’ensuit — l’ordinateur est trop vieux, n’est pas prêt pour le changement, ou est incapable de phagocyter la mise à jour. Mais comme le dit le proverbe chinois, « un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse ». Dans la plupart des cas, la mise à jour est réussie et totalement asymptomatique 

Ce qui précède illustre la prévalence des virus dans notre code génétique et le rôle essentiel qu’ils occupent. Cette perspective donne une autre tournure au débat en cours sur la question de savoir si les virus sont des formes de vie ou pas. En fait, les virus semblent plus fondamentaux que la vie elle-même ; ils sont les supports d’information — codes génétiques — dont découle la vie biologique. Les virus sont plus que la vie : ils sont la source même de la vie ; ils sont les précurseurs de l’information, les initiateurs des formes de vie.

Luc Montagnier est un scientifique français à la retraite. Il a reçu le prix Nobel de médecine en 2008 pour sa découverte du virus VIH. Le fait d’être un prix Nobel à la retraite le rend moins sensible aux diverses pressions

Montagnier a décrit le Sras-Cov-2 comme un « virus Frankenstein » créé par l’homme qui combine différents types de virus. Selon Montagnier, ce virus Frankenstein a été fabriqué à partir d’un coronavirus naturel.

À la question : « Le coronavirus n’est-il pas naturel ? », Montagnier a répondu : « Non, il ne l’est pas, c’est le fruit d’un travail de professionnels, de biologistes moléculaires, il s’agit d’un travail très précis, que l’on pourrait qualifier de travail d’horloger ».

Les affirmations de Montagnier sur les insertions techniques de séquences du VIH dans le Sras-Cov-2 ont été confirmées par une étude intitulée « Étrange similitude d’insertions uniques dans la protéine Spike du 2019-nCoV avec celles de la GP120 et du Gag inhérents au VIH-1.

udy Mikovits était directrice de laboratoire à l’Institut national américain du cancer, et faisait partie de l’équipe qui fut la première à isoler le rétrovirus murin XMRV [virus xénotrope apparenté au virus de la leucémie murine de Moloney – NdT]. Elle a également œuvré pendant plusieurs années à Fort Detrick, le plus célèbre laboratoire de recherche sur les armes biologiques de l’armée américaine. Mikovits est l’une des rares personnes à avoir osé dénoncer le scandale des vaccins, ce qui lui a coûté sa carrière, ses économies et sa réputation. Elle a déclaré publiquement que, vu le nombre stupéfiant — 1 200 — de mutations entre le nouveau Sras-Cov-2 et le virus source de la chauve-souris, le premier devait avoir été modifié

Il n’a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n’a pas pu passer directement à l’homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s’agit d’une évolution virale accélérée. S’il s’agissait d’un phénomène naturel, il faudrait jusqu’à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.

Fang Chi-tai, professeur d’étiologie à l’université nationale de Taiwan, a déclaré que le Sras-Cov-2 était probablement d’origine humaine. Dans la séquence génétique du Sras-Cov-2, il existe quatre acides aminés supplémentaires qui n’existent pas dans les autres coronavirus. Selon Fang, les mutations naturelles des virus n’entraînent que de petites modifications singulières, il est donc suspect qu’un virus qui aurait muté naturellement acquière soudainement quatre acides aminés. Ces acides aminés pourraient avoir été ajoutés artificiellement pour faciliter la transmission du virus.

Il s’agit d’un nouveau virus qui n’existait pas chez l’homme auparavant, mais qui se lie de façon extraordinairement élevée aux récepteurs humains, ce qui est très surprenant. Il est presque parfaitement adapté à l’homme, et il ne pourrait l’être plus.L’adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être humain… Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer.

Conçu dans quel le but ?

Transmissibilité

Le taux de transmission (R0) mesure le nombre moyen de personnes contaminées par un seul porteur. Le R0 pour le Sras-Cov-2, est compris entre 3 et 5. C’est plusieurs fois supérieur au SRAS, avec un R0 égal à 1,8 et au MERS dont le R0 est inférieur à 1. De même, la grippe saisonnière est modérément contagieuse avec un R0 d’environ 1,3.

Pathogénicité

Des tests de masse effectués en Islande ont révélé que 50 pour cent des porteurs du Sras-Cov-2 sont asymptomatiques. Ce chiffre est conforme au cas du Diamond Princess où 75 pour cent des porteurs étaient asymptomatiques. Le SRAS et le MERS sont nettement plus pathogènes.

Mortalité

Les incitations financières accordées pour les décès dus au Covid-19, les décès dus à la grippe saisonnière presque inexistants cet hiver (comptés plutôt comme des décès dus au Covid-19) et les faux certificats de décès ont tous contribué à surestimer encore plus le taux de mortalité dû au Covid-19.

En dépit de ces chiffres surestimés, le SRAS affiche un taux de mortalité beaucoup plus élevé avec 9,5 pour cent, et le MERS est 68 fois plus mortel avec un taux de mortalité de 34 pour cent. En général, la grippe saisonnière présente un taux de mortalité de 0,1 pour cent, ce qui est comparable au taux du Sras-Cov-2 une fois les chiffres surgonflés mis de côté.

Effets neurologiques

Le Sras-Cov-2 présente un pourcentage étonnamment élevé d’effets neurologiques.

le Sras-Cov-2 induit un large éventail de symptômes neurologiques : vitesses cognitives plus lentes que la normale, pertes de mémoire, troubles de la concentration, confusion, agitation grave, encéphalite, convulsions, engourdissements, accidents vasculaires cérébraux, vertiges, thromboses des sinus veineux cérébraux, hémorragies cérébrales, maux de tête, pertes de goût et/ou pertes d’odorat.

Une étude publiée le 4 juin révèle qu’une hypoperfusion fronto-temporale a été constatée sur toutes les IRM cérébrales améliorées réalisées chez des patients atteints du Covid-19. Ce résultat suggère que le Sras-Cov-2 pourrait particulièrement affecter cette région spécifique, dont la pathologie la plus fréquente est connue sous le nom de démence fronto-temporale, l’un de ses principaux symptômes étant l’obéissance automatique. De même, chez les personnes en bonne santé soumises à des expériences de type Milgram, l’obéissance aux autorités est associée à une moindre activité de la région fronto-temporale.

Le Sras-Cov-2 comparé au MERS, au SRAS et à la grippe saisonnière

Cov-2 comparé au MERS, au SRAS et à la grippe saisonnière

Le Sras-Cov-2 n’était assurément pas conçu pour tuer ; bien au contraire, les porteurs devaient rester en vie — faible taux de mortalité. Qui plus est, les porteurs devaient rester indiscernables — faible pathogénicité — et le virus devait se propager largement — haute transmissibilité.

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Le Sras-Cov-2 a été conçu pour se propager de manière étendue et silencieuse et pour atteindre le cerveau dans le but d’affecter la région relative aux décisions fondées sur la morale et l’obéissance. Quelles sont les modifications cérébrales visées par les concepteurs ? La finalité du virus était-elle d’accroître l’obéissance ?

Aujourd’hui, les scientifiques de Fort Detrick mènent toujours des recherches intensives pour concevoir des armes biologiques en général, et d’autres pour développer des virus artificiels plus particulièrement.

Fort Detrick et le contrôle mental

Fort Detrick est fortement impliqué dans le contrôle mental. Après la Seconde Guerre mondiale, les méthodes utilisées comprenaient l’utilisation de diverses drogues — héroïne, mescaline, LSD, MDMA, THC synthétique et morphine — mais aussi l’usage du polygraphe, de l’électrochoc, d’« aides mécaniques », de la lobotomie, de l’hypnotisme, de la fatigue, de l’isolement, de la privation sensorielle et de la torture.

MK-Ultra est le programme de contrôle mental le plus connu en raison des révélations sur les horribles expériences menées par Sydney Gottlieb, chimiste de la CIA et responsable de certaines expériences de contrôle mental à Fort Detrick

« Pouvons-nous contrôler un individu au point qu’il se soumettra à nos ordres contre sa volonté et même contre des lois aussi naturellement fondamentales [que] l’auto-préservation ? »Les deux principaux axes de recherche effectués à Fort Detrick — à savoir les armes biologiques et le contrôle mental — n’étaient pas cloisonnés.

Conçu en Chine ou conçu aux États-Unis, avec l’aide la France ?

Le laboratoire de niveau 4 de Wuhan est une installation civile qui recherche des traitements contre les virus existants, tandis que Fort Detrick est la plus grande installation militaire de fabrication d’armes biologiques au monde, et l’une de ses activités principales consiste à créer de nouveaux virus d’origine humaine.

Le 2 juillet 2019, une mystérieuse épidémie respiratoire s’est déclarée dans la maison de retraite Greenspring Senior Living Community, située à Springfield en Virginie, à seulement quatre-vingts kilomètres de Fort Detrick  Rétrospectivement, les symptômes décrits sont très proches de ceux associés au Sras-Cov-2. Les statistiques épidémiologiques — pour les personnes âgées — sont également similaires à celles du Sras-Cov-2 ; parmi les deux cent soixante-trois résidents, soixante-trois sont tombés malades et trois sont morts.

C’est dans ce contexte de mystérieuses épidémies respiratoires frappant les États-Unis en général, et les environs de Fort Detrick en particulier, que trois cents soldats américains sont arrivés à Wuhan, en Chine, pour les 7e Jeux mondiaux militaires d’été qui se sont tenus du 18 au 27 octobre 2019. Juste avant le voyage, certains de ces soldats américains s’étaient entraînés à Fort Belvoir, situé à quatre-vingt kilomètres de Fort Detrick et à neuf kilomètres de Springfield, en Virginie — le premier foyer infectieux de la mystérieuse maladie respiratoire.

De manière surprenante, l’équipe des États-Unis ne fut lors de ces jeux militaires pas très performante :L’équipe américaine, connue pour ses capacités compétitives, a réalisé des performances déplorables ; seulement cent soixante-douze athlètes militaires étaient présents [sur les trois cent soixante-neuf initiaux – NdT] et presque la moitié d’entre eux n’ont même pas participé aux épreuves. Bien qu’ils possèdent une des plus grandes armées du monde, les États-Unis sont arrivés en 35e position derrière des nations comme l’Iran, la Finlande et la Slovénie.

Un vaccin favorisant l’obéissance a-t-il muté en virus qui favorise la désobéissance ?

Jusqu’à présent, les données suggèrent que Fort Detrick a mis au point le Sras-Cov-2. Contenu dans un vaccin, il pourrait avoir ciblé les fonctions cérébrales, en particulier les régions associées à la prise de décision en matière d’obéissance et de morale. Mais si le Sras-Cov-2 a été conçu pour accroître l’obéissance de ceux qui y sont exposés, comment expliquer les mesures sans précédent prises au niveau mondial pour minimiser sa propagation ?

Eh bien, parfois les choses ne se passent pas comme prévu, surtout avec les virus.

les vaccins sont censés contenir des virus « morts », mais cette désactivation virale ne fonctionne pas toujours et des virus « vivants » peuvent s’en affranchir. C’est exactement ce qui s’est produit avec le vaccin contre la polio la pire épidémie de polio de l’histoire en infectant deux cent mille personnes avec des souches vivantes de poliovirus, dont quarante mille ont développé la maladie.

En plus d’échapper aux vaccins, les virus ont une considérable aptitude à muter. Il est intéressant de noter que les mutations peuvent totalement inverser les effets « originaux » ou « voulus » d’un virus :[…] un virus non muté était plus susceptible de produire beaucoup d’ARN viral et moins susceptible de déclencher l’alarme cellulaire. Les virus mutés avaient généralement l’effet inverse.Le Sras-Cov-2 a-t-il suivi la séquence des événements décrits ci-dessus ?

    1. Le virus est créé ;
    2. Le virus est incorporé dans un vaccin ;
    3. Le virus s’affranchit du vaccin ;
    4. Le virus mute et inverse ses effets.

 

Les preuves semblent confirmer cette hypothèse.

1 — Le virus est créé

En dépit du secret inhérent à ce type d’activité, plusieurs éléments de preuve suggèrent que Fort Detrick était impliqué dans des recherches étroitement liées à l’ingénierie du Sras-Cov-2.

Vaccination des soldats américains

2 — Le virus est incorporé dans un vaccin

Depuis plus de deux siècles, les soldats américains sont utilisés comme cobayes pour les vaccins. Chaque année, de nouveaux vaccins sont testés sur les troupes. L’une des nombreuses inoculations administrées vers 2018 pourrait avoir contenu le Sras-Cov-2, y compris le vaccin annuel obligatoire contre la grippe

en 2018, un brevet — déposé en 2015 — a été accordé pour un vaccin contenant un coronavirus artificiel. Ce vaccin a été financé par l’OMS et la Fondation Bill & Melinda Gates : la  présente invention fournit un coronavirus vivant, bien qu’atténué, comprenant une variante d’un gène de réplicase codant pour des polyprotéines comportant une mutation au sein d’une ou de plusieurs protéines non structurelles.

3 — Le virus s’affranchit du vaccin

Le virus s’est probablement affranchi du vaccin vers le début de l’été 2019, comme le suggère l’apparition d’étranges maladies respiratoires qui ont commencé près de Fort Detrick et se sont propagées au reste des États-Unis en quelques mois. Jusqu’alors, le virus était contenu dans le vaccin.

4 — Le virus mute et inverse ses effets

Entre la première inoculation du vaccin, probablement en 2018, et la fin de l’année 2019, le Sras-Cov-2 a muté. Les tests de masse effectués en Islande ont révélé quarante mutations du virus. Une étude publiée en mars 2020 est allé plus loin en identifiant cent quarante-neuf sites de mutations.

Confiner pour réduire la propagation, pas la mortalité

Nous avons assisté à deux « confinements » très distincts. Le premier à Wuhan fut décidé face à un virus encore inconnu, du moins pour les scientifiques chinois. Le second fut mondial — bien que principalement occidental — et imposé par quiconque contrôle l’OMS, après qu’il ait été établi que le Sras-Cov-2 n’était pas plus mortel qu’une grippe ordinaire.

Le confinement imposé en Occident était une tout autre histoire. À cette époque, il était clair que le Sras-Cov-2 ne représentait pas le nouveau fléau annoncé ; en outre, des kits de dépistage et des traitements efficaces — association d’hydroxychloroquine, d’azytromycine, et de zinc [pour son pouvoir anti-viral] — étaient disponibles. Il existait donc une meilleure solution pour «sauver des vies» que les mesures de confinement.

Confinement versus non-confinement

Plutôt que de « sauver des vies », les pouvoirs publics choisiront toujours d’exercer leur contrôle. Si nécessaire, ils sacrifieront des vies pour le préserver ou l’accroître. C’est exactement ce qui s’est produit avec le confinement occidental, qui a non seulement augmenté le taux de mortalité du Covid-19 (pas d’immunité collective, pas de dépistage, pas de traitement précoce), mais aussi le taux de mortalité global en raison d’une augmentation des suicides, des dépressions, de la pauvreté, et des soins médicaux retardés ou annulés.

Le confinement a reposé sur le postulat selon lequel « le Covid-19 est mortel », et nous devions donc rester chez nous pour sauver des vies. À dire vrai, le virus n’est pas du tout mortel, mais le confinement, lui, l’est. Une prophétie auto-réalisatrice, dans laquelle le remède — le confinement — a causé plus de morts que la maladie

trois des pays qui ont imposé un confinement total — France, Italie, Belgique — ont également interdit l’usage d’un médicament efficace, bon marché et sans danger : l’hydroxychloroquine. Il n’est pas surprenant que ces trois pays affichent des taux de mortalité parmi les plus élevés au monde.

Conclusion

Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 (Covid-19) a été fabriqué et qu’il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d’affecter les fonctions neurologiques associées à l’obéissance.

Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d’abord parce que le « virus de l’obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.

Les pouvoirs publics n’ayant pas réussi à contenir la propagation du virus mutant bénéfique, l’une des seules options encore à leur disposition consiste à en annuler les effets bénéfiques. Ils préparent donc activement le public à ce qui va suivre ; depuis plusieurs mois, on ne cesse d’entendre parler de la « deuxième vague » et du « vaccin contre le Covid-19 ».

En fin de compte, le message à retenir de cet article ne concerne pas tant le Sras-Cov-2 — qui ne constitue finalement qu’un chapitre supplémentaire dans le grand livre des mensonges proférés par les pouvoirs publics, et de la tragédie humaine qui consiste à croire à ces mensonges. Le message le plus important à retenir c’est que les pouvoirs publics ne sont pas là pour nous protéger. La connaissance constitue la seule protection dont nous disposons, y compris la connaissance viscérale que les autorités publiques ne nous protègent pas — en fait, c’est tout le contraire.

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Les traitements, efficacité, omerta et sabotage

 

Covid-19 et traitements
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Une réponse sur “Toute la vérité sur le COVID – les preuves irréfutables – Efficacité des traitements, censures et sabotages”

  1. Merci pour ces informations qui ne m’étonnent pas du tout.
    Je me demandais depuis quelques mois mois pourquoi, dans cette nature si belle et si bien faite, les virus paraissaient si dangereux pour notre santé. Merci de m’avoir éclairé sur ce point car si je vous ai bien compris, ils sont, comme tout dans la nature indispensables à notre équilibre et à notre évolution.
    Un nouvel espoir est né en moi suite à la lecture de cet article. En effet, les virus ont finalement évolué, muté pour protéger les intérêts de la vie. Donc, quoi que les “méchants” fassent pour nous asservir et nous détruire, il y aura toujours une force supérieure pour nous protéger et nous permettre d’évoluer vers je l’espère un jour un monde libre et plein d’amour.
    Belle continuation à vous.

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